Revue de réflexion politique et religieuse.

La Grande-Bre­tagne, une socié­té bri­sée

Article publié le 4 Oct 2009 | imprimer imprimer  | Version PDF | Partager :  Partager sur Facebook Partager sur Linkedin Partager sur Google+

Il ne fait aucun doute que l’on trouve des exemples de for­ma­tion et d’appartenance à de tels groupes, ou « tri­bus », consti­tués pour échap­per à l’isolement post­mo­derne et offrir une iden­ti­té. Cela va des clubs de sup­por­ters de foot­ball aux groupes reli­gieux fon­da­men­ta­listes, aux groupes eth­niques qui main­tiennent for­te­ment leur culture d’origine ou encore aux asso­cia­tions folk­lo­riques. Il y a là clai­re­ment un élan dans ce sens, mais à l’intérieur de la culture post­mo­derne bri­tan­nique cela demeure une ten­dance mino­ri­taire. C’est ce que démontre le fait que les asso­cia­tions de la socié­té civile, dans les der­nières décen­nies, sont pas­sées de l’échange inter­per­son­nel fort à des formes beau­coup plus imper­son­nelles de par­ti­ci­pa­tion.

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