Le suicide, les jeunes et l’avenir
Le raisonnement que l’on fait aujourd’hui est terriblement simple : si dans les déclarations des droits la liberté personnelle est considérée comme inviolable, le suicide ne peut qu’être une manifestation certes extrême mais néanmoins très haute de la liberté. Et, comme l’ont montré les développements récents autour d’un prétendu droit au suicide assisté (euthanasie), il pourrait carrément être protégé par la loi. Ainsi, une maladie serait ramenée au rang de « saine » déviance. « Si quelqu’un ne veut pas vivre, quelque part, c’est son affaire ».