Revue de réflexion politique et religieuse.

Entre­tien. Babel et la moder­ni­té tar­dive

Article publié le 10 Août 2016 | imprimer imprimer  | Version PDF | Partager :  Partager sur Facebook Partager sur Linkedin Partager sur Google+

« Si l’on aban­donne la véri­té pour unir les hommes dans un pro­jet com­mun, comme le veut le Dra­gon, il faut alors lui sub­sti­tuer un idéal qui soit aus­si vis­cé­ral, et qui n’o­riente pas inévi­ta­ble­ment vers la trans­cen­dance. Le bon­heur est le concept le plus apte à unir les hommes dans la construc­tion d’un monde sans trans­cen­dance, ce que les grandes uto­pies ont bien com­pris. »

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