Entretien. Babel et la modernité tardive
« Si l’on abandonne la vérité pour unir les hommes dans un projet commun, comme le veut le Dragon, il faut alors lui substituer un idéal qui soit aussi viscéral, et qui n’oriente pas inévitablement vers la transcendance. Le bonheur est le concept le plus apte à unir les hommes dans la construction d’un monde sans transcendance, ce que les grandes utopies ont bien compris. »