Lectures. Vers un antihumanisme aggravé
Réflexions autour du développement hors limites de l’inféodation de l’homme à la machine, du réductionnisme linguistique qui en résulte, et de la transformation conséquente des études supérieures en intégration à ce processus.
Dans notre précédent numéro (135, printemps 2017) nous avons fait une large place – pp. 4 à 64 – à un dossier intitulé « Quitter la cage d’acier », sur les conséquences humaines, individuelles et collectives, de la modernité tardive, qui voit se manifester toujours plus nettement ce qui était déjà en germe dès l’origine du mouvement historique qu’elle porte à son terme. Nous poursuivons ici la présentation de quelques analyses à ce sujet, à partir d’un panorama bibliographique