Bonnes feuilles : L’esthétique de la Grâce par Jean Brun
“Au fur et à mesure que l’homo faber multipliait ses prises sur la nature et sur lui-même, se renforçait en lui l’idée qu’il n’était autre que son autorévélation et son autoréalisation. Une autoréalisation qui, à la limite, devait pouvoir parvenir à s’invaginer sur elle-même, comme on le voit dans ces dessins animés où le kangourou se met dans sa propre poche jusqu’à y disparaître dans le néant pour déboucher sur un autre domaine que celui de sa propre réalité.”