Vatican II, question ouverte par Mgr Brunero Gherardini
Avant toute autre considération vient celle-ci : si un concile a besoin d’être interprété, cela signifie que ses énoncés, ou une partie d’entre eux, ne sont pas clairs. C’est précisément à la lumière de ces textes provenant du Magistère suprême de l’Eglise, et dès lors valides par eux-mêmes et non par l’explication qu’on en donnerait, que la vie chrétienne de chacun et de la communauté devrait pouvoir s’orienter. Mais si les textes ne sont pas clairs, ils ne peuvent en rien orienter la vie chrétienne.